Au nom de leur santé et du principe de précaution, ils étaient 206 plaignants à réclamer devant le juge des référés de Bordeaux, la fin de la pose des compteurs Linky. Treize d’entre eux ont, en partie, obtenu gain de cause. Enedis va devoir poser un filtre pour les protéger des ondes dégagées.
Le juge des référés du Tribunal de Grand Instance de Bordeaux a donné, en partie, raison à treize particuliers, sur les 206 au total, qui avaient engagé une action en justice contre les compteurs communicants Linky. Ces treize plaignants, dotés d’un certificat médical attestant de leur hypersensibilité électromagnétique (maux de tête, insomnies…) lors de l’audience le mois dernier, vont pouvoir réclamer à Enedis, dans les deux mois, la pose d’un filtre les protégeant des champs électromagnétiques.
« Une première brèche… timide »
« C’est une première brèche » estime l’avocat des 206 plaignants, maître Pierre Hurmic, « car la décision ne concerne que quelques demandeurs de la procédure. Mais c’est quand même une première brèche, dans ce qui était, la pensée dominante jusqu’ici ; Enedis se bornant à dire qu’il n’y avait aucun danger ! » Pierre Hurmic reconnaît que « c’est timide ». Il aurait préféré « l’interdiction de la pose des compteurs Linky. Le combat continue et je ne désespère pas d’aboutir un jour. »
Enedis a quinze jours pour faire appel de la décision du juge des référés en attendant le procès au fond. Elle a prévu de le faire a indiqué la filiale d’EDF à l’Agence France Presse, en début de soirée. Pour Enedis la décision du tribunal de Bordeaux « conforte aussi bien le principe du remplacement des compteurs que notre démarche d’écoute à l’égard de certains de nos clients qui se déclarent électro-sensibles. »
Enedis souligne encore qu’il s’agit de cas « extrêmement rares pour lesquels nos équipes mettent en oeuvre un accompagnement personnalisé et adapté à chaque situation particulière ». La société rappelle que « toutes les mesures réalisées par les organismes indépendants mettent en évidence des niveaux de champs électriques et magnétiques très largement inférieurs aux limites réglementaires ».
A Toulouse déjà…
Ce n’est pas le premier jugement allant dans ce sens. A Toulouse, le mois dernier, le juge des référés avait donné gain de cause à treize autres personnes souffrant d’hypersensibilité aux ondes. Ils avaient obtenu le droit de ne pas être équipés, contre leur gré, pour raison médicale, d’un compteur électrique Linky. A ce jour, 22 tribunaux ont été saisis d’actions conjointes. La grande majorité des plaignants, ont été déboutés notamment à Rennes et à Bordeaux.
Le compteur Linky, dont l’installation est pilotée par Enedis et qui permet de relever à distance et en direct la consommation des clients, fait l’objet de polémiques récurrentes depuis son déploiement en 2015.
Pascal Ouallet, habitant de Saint-Pierre-ès-Champs a développé divers symptômes depuis l’installation du compteur Linky. Malgré plusieurs appels à Enedis, son dossier stagne.
En effet, comment à partir d’un compteur Linky, savoir si celui-ci fonctionne en émission CPL de type G1 ou en émission de type G3 ?
Tout le monde ne disposant pas d’appareils de mesures sophistiqués pour analyser les signaux CPL, comment peut on connaitre le protocole actif du CPL d’un compteur Linky ?
La réponse se trouve page 14 dans le guide pratique édité par SéQuélec en mars 2017 référence GP15, et disponible en téléchargement sur le lien :
Ce compteur Linky fait l’objet d’une contestation grandissante de communes, de citoyens organisés en collectifs et même au niveau de la Cour des Comptes qui a indiqué dans son rapport de février 2018 que ce dispositif est « coûteux pour le consommateur mais avantageux pour Enedis, et dont le financement est assuré par les usagers ». Des actions collectives juridiques protestent également sur différents points reprochés à ces compteurs dits « intelligents » : données récoltées par Enedis, incendies de compteurs rapportés par la presse, pannes diverses, coupures de courant, factures qui s’envolent et pollution électromagnétique.
Le compteur Linky, en plus de ses activités de comptage des consommations, est un dispositif numérique doté d’une carte SIM et de l’antivirus Java, l’un des moins fiables, ainsi que d’une pile au lithium. Il superpose sur nos lignes électriques à 50 Hz, un Courant Porteur en Ligne (CPL) par ondes pulsées (ou trames) variant entre 10 kHz et 95 kHz (mais « évolutives ») afin de transporter et échanger des données fines de consommation de l’ensemble des compteurs Linky reliés au transformateur de quartier. Le quartier devient donc un véritable réseau informatique, subissant des variations de la tension électrique par ces échanges de données, sous forme de pics brefs mais incessants de l’ordre de 15 000 va-et-vient par seconde pour une modulation haute fréquence à 15 kHz, par exemple.
Si le CPL est utilisé pour certaines connexions ainsi que pour le système HC/HP des chauffe-eau électriques, il entraîne par son utilisation massive un surcroît d’interférences électriques hautes fréquences, phénomène connu du monde industriel sous le nom de Hautes Fréquences Transitoires, HFT. Ce sont des interférences électromagnétiques, des éclairs invisibles à l’œil nu qui viennent parasiter le courant 50 Hz circulant dans les fils, les lignes et les câblages électriques.
L’exposition aux HFT (hautes fréquences transitoires) est de plus en plus massive
En plus du CPL domestique, le déploiement des « compteurs communicants » comme le Linky renforce encore l’exposition à ces HFT, ou « électricité sale », ou « dirty electricity », polluée et traversée d’une multitude d’interférences, de grésillements, de bugs, d’infimes courts-circuits. « Ces ondes sont générées par divers appareils : gradateurs d’éclairage, moteurs électriques à vitesse variable, lampes halogènes ou fluocompactes, téléviseurs plasma, ordinateurs, photocopieuses, etc, ainsi que par divers problèmes électriques -, mise à la terre déficiente, arcs électriques causés par de mauvaises connexions et difficultés avec les transformateurs ainsi que les lignes de transmission et de distribution ». Tel est le portrait-robot des HFT brossé dès 2008 par la revue québécoise La Maison du 21e siècle.
Les interférences ou parasites électriques naissent du passage d’un courant instable et fluctuant. Ce sont par exemple les parasites que l’on peut entendre sur une télé ou une chaîne hi-fi lorsqu’un autre appareil fonctionne à proximité. Ces émissions variées et variables interagissent.
Mesure des HFT
Ces surtensions incessantes sont sources de micro-émissions électromagnétiques, naturellement captées par les câblages et les systèmes des appareils alentour. Plus il y a d’appareils en fonctionnement, plus la quantité d’interférences augmente et leurs harmoniques polluantes également.
Ces multiples variations sont si nombreuses qu’elles ne sont pas perceptibles par les instruments utilisés habituellement : par exemple, les ampoules fluocompactes injectent près de 20 000 impulsions par seconde qui interagissent.
Martin Graham, professeur émérite de génie électrique de l’université de Berkeley en Californie a inventé un appareil qui permet de mesurer la densité des parasites HFT : le MicroSurge Meter II. Branchée dans une prise électrique, la sonde mesure le nombre de parasites HFT émis dans la gamme des 4 à 150 kHz et exprime cette mesure par une valeur comprise entre 0 et 1999 unités Graham-Stetzer (GS).
En matière de santé publique, les HFT posent un sacré problème, carrément suspectées d’être des agents « cancérigènes universels » par les auteurs de l’une des études pointant explicitement l’impact des HFT sur la santé.
Périls en la demeure
Neuf fois plus de cancers de l’utérus que la norme, dix fois plus de mélanomes malins, treize fois plus de cancers de la thyroïde… Telles sont les sinistres statistiques du triste record établi à l’école de La Quinta, en Californie, où seize enseignants sur 137 – c’est-à-dire un enseignant sur neuf – ont été touchés par 18 formes de cancer entre 1988 et 2005. Soit trois fois plus que le taux de cancer observé dans la population en général. Pour Samuel Milham et Lloyd Morgan, les deux auteurs de cette étude épidémiologique parue en mai 2008 dans l’American Journal of Industrial Medicine, l’apparition des trois cancers de la thyroïde, de la peau et de l’utérus est fortement corrélée à l’exposition à des niveaux très élevés de HFT.
Ainsi, dans 13 des 52 salles de classe de La Quinta, les HFT des prises dépassaient les 1999 GS affichés par le MicroSurge Meter II, contre un niveau moyen de 750 GS au sein des autres classes. Là, après une seule année passée dans l’une de ces classes où les HFT dépassaient les 1999 GS, le risque de cancer augmentait de 26 %. « Près de 70 % des enseignants qui ont travaillé plus de 10 ans dans une des 13 salles problématiques ont fait un cancer, un taux 7 fois plus élevé que la norme. Les résultats de l’étude furent aussi corroborés par une analyse indépendante effectuée par deux chercheurs de l’Ecole de santé publique de l’université de Pittsburgh », résume André Fauteux dans son article de La Maison Saine du 21e siècle.
De son côté, en 2003, « La chercheure Magda Havas, qui donne un cours sur les effets biologiques des champs électromagnétiques à l’université Trent en Ontario, a étudié l’impact de 50 filtres Stetzer posés à l’insu du personnel et des étudiants de l’école Willow Wood de Toronto, rappelle également André Fauteux. Trois semaines plus tard, les enseignants étaient moins fatigués et irritables et ils éprouvaient moins de maux de tête et autres douleurs. De plus, les écoliers étaient plus calmes et concentrés. Le Dr Havas a aussi remarqué que ces filtres avaient un effet équilibrant sur la glycémie des diabétiques et qu’ils réduisaient également les symptômes – respiratoires, musculo-squelettiques, neurologiques, gastro-intestinaux et dermatologiques – d’hypersensibilité électromagnétique. » (source)
Les HFT, agent cancérogènes universels ?
De nombreuses autres études sur les effets sanitaires ont démontré les risques de cancers et nombreuses autres pathologies, et même explicité les mécanismes qui perturbent notre système vital.
En 1987, une étude EDF, Hydro-Québec et Ontario Hydro du nom des trois opérateurs électriques qui l’ont financée a été lancée. Elle a été signée par onze coauteurs, dont deux membres d’EDF, deux membres de l’Inserm Paris, et coordonnée par le docteur Gilles Thériault de la faculté de médecine de l’université McGill à Montréal. Cette étude a suivi plus de 223 000 salariés (dont 170 000 employés d’EDF) sur une période comprise entre 1970 et 1989.
Leucémie : l’étude a montré deux risques statistiquement significatifs pour la leucémie aiguë non lymphoïde et la leucémie myéloïde aiguë. Ces risques sont doublés chez les salariés dont l’exposition moyenne annuelle dépasse 200 nT (nanoTesla). Un autre risque de cancer inattendu, celui du cancer du poumon. Risque plus que triplé dans le sous-groupe de salariés le plus fortement exposé aux hautes fréquences transitoires !
Ce lien entre l’exposition aux HFT et le cancer du poumon, 6 à 7 fois plus élevé que la normale et distinct de tout autre facteur (dont le tabac), fit l’objet d’une vive polémique lors de sa parution dans un article et signa la fin du financement de cette recherche.
Une convergence significative des études et appels de chercheurs, médecins, Professeurs
D’après les conclusions du rapport Bioinitiative 2012, 1800 études prouvent les dangers des champs électromagnétiques :
Anomalies de transcription des gênes
Génotoxicité et dommages sur l’ADN
Neurotoxicité
Impacts forts sur la morphologie et la fonction du sperme chez l’humain et l’animal
Impact sur le développement du cerveau et de la boîte crânienne de la progéniture d’animaux exposés pendant la gestation
Facteur plausible de l’autisme
Risques pour la barrière hémato-encéphalique
Elévation du risque de cancer du cerveau
Diminution de la production de mélatonine pouvant entraîner le cancer du sein
Facteur de risque dans la maladie d’Alzheimer
Rendent les toxines chimiques plus dangereuses
Un article de la Dr Sandra Perlingieri paru sur Global Research et signé par une quarantaine de médecins et chercheurs montre les impacts sérieux sur la santé de l’exposition au rayonnement électromagnétique sans fil :
Troubles neurologiques
Douleurs aux oreilles et problèmes d’audition
Dysfonctionnements respiratoires
Douleurs thoraciques
Maladies cardiaques
Brûlures de la peau
Troubles du sommeil
Maux de tête
Dépression
Troubles de la vision
Changements de pression artérielle
Stérilité
Autisme
Maladies neurodégénératives
La plupart des effets biologiques peuvent se voir sur la membrane de la cellule par la perte d’ions calcium, importante partie de la structure de la membrane.
De plus, il y a un dysfonctionnement de la glande parathyroïde, une réduction du nombre d’ions calcium dans le sang et une réduction de la production de mélatonine qui protège contre le cancer.
Vidéo – Compteur Linky: La fréquence de mort confirmée
Extraits de la vidéo:
« Il ne fait aucun doute pour moi qu’à présent, l’élément le plus polluant dans l’environnement terrestre est la prolifération des ondes électromagnétiques. Je considère cela comme bien plus important sur une large échelle, que le réchauffement et l’augmentation des produits chimiques dans l’environnement. »
« Les marqueurs de l’inflammation augmentent de façon exponentielle : TGF-Béta 1 ; MMP-9 ; niveau du cuivre, hormones et neurotransmetteurs sortent de la norme. L’utérus concentre les rayonnements électromagnétiques de multiples fois plus que ce qui est mesuré à l’extérieur du corps de la mère. »
« 80% des problèmes de santé actuels sont provoqués ou induits par l’exposition aux champs électromagnétiques créés par l’homme. »
Comment se protéger des ondes électromagnétiques ?
Le plus simple serait naturellement d’éviter un maximum des sources d’ondes électromagnétiques artificielles aussi bien chez soi qu’à son travail ou dans les écoles : baby-phones, wifi, téléphones DECT, téléphones portables, micro-ondes, plaques à induction, lampes fluocompactes, objets connectés, et bien sûr les compteurs communicants Linky, Gazpar et Aquarius, les nouvelles antennes relais, en particulier la 5G en début d’ « expérimentation » en France !
Lorsqu’on n’a plus le choix, il existe bien sûr les filtres Stetzer présentés plus haut ainsi que les filtres CEM Protect : le « Strike » semble avoir recueilli l’approbation de personnes qui l’ont elles-mêmes testé et il ne consomme pas.
Lorsque la santé risque vraiment d’être atteinte, on peut aussi trouver des tissus anti-ondes, des peintures spéciales, et des systèmes installés par des géobiologues.
Voici un article de Maisonsaine.ca qui décrit plus en détail les façons de se protéger des champs électromagnétiques.
La loi de transition énergétique publiée le 18 août 2015 instaure le déploiement de 35 millions de nouveaux compteurs électriques dits « Linky ». Tous les abonnements de moins de 36 kVa, résidentiels et professionnels, sont dans le viseur. Grâce à la mobilisation citoyenne, les sanctions initialement prévues en cas de refus (1 500 € d’amende) ont été retirées du texte. Refuser le compteur Linky chez soi est donc possible, mais il faut agir vite, car l’installation de 500.000 Linky est programmée d’ici fin 2015.
Brigitte J. lutte activement contre Linky et elle sait pourquoi : il injecte des radiofréquences CPL (Courant porteur en ligne) dans tous les câbles et appareils électriques. Et le CPL, elle en a déjà fait l’expérience.
Insomniaque depuis 2009, elle suspectait le wifi des voisins de l’avoir rendue électrosensible. Pensant le CPL inoffensif, elle leur a proposé de remplacer leur connexion internet wifi par du CPL. Ils ont accepté de couper le wifi et elle leur a fourni le boîtier CPL. Elle raconte : « J’ai passé une nuit cauchemardesque. J’ai eu de graves irrégularités cardiaques, j’ai craint une crise cardiaque, j’ai failli appeler le SAMU. » Dès le lendemain, elle a repris le boîtier CPL et ses voisins ont accepté de câbler. Depuis, elle peut enfin dormir.
Troubles liés au boiter Linky : Brigitte est loin d’être la seule dans son cas
Brigitte fait partie des personnes devenues « électrosensibles ». Vous pouvez découvrir en vidéo ici des témoignages de personnes souffrant de ce syndrome:
Mais ne croyez pas que l’électrosensibilité ne touche que quelques personnes isolées, car chacun d’entre nous est électrosensible, la seule diférence étant que certains souffrent de symptômes plus ou moins invalidants, et d’autres pas.
La raison pour laquelle le CPL a provoqué si rapidement une crise intense chez cette personne électrosensible est facile à comprendre : le CPL, ce sont des radiofréquences (entre 63 et 95 mégahertz pour le Linky en CPL g3) qui sont injectées dans les circuits, câbles et appareils électriques de toute une maison, ou de tout un immeuble. Or ces équipements ne sont pas prévus pour cela et ne sont pas blindés.Les radiofréquences se retrouvent donc dans l’air environnant, mesurables jusqu’à 2,50 mètres de tous les câbles encastrés dans les murs, les fils électriques apparents et les appareils eux-mêmes, y compris les lampes de chevet, selon l’association Next-up.
Les premiers à lancer l’alerte ont été les radioamateurs, qui ont qualifié le CPL de « cancer des ondes » en raison des brouillages intenses qu’ils constataient sur leurs émetteurs/récepteurs. En 2009, l’un d’eux m’écrivait : « Ce boîtier CPL est branché sur le secteur et utilise le réseau filaire électrique de l’habitation dans lequel il émet un signal doublé d’un rayonnement radiofréquences. Lorsqu’un voisin de l’autre côté de la rue l’utilise, en pavillon, je reçois chez moi un puissant signal qui sature totalement mon récepteur. »
Les radiofréquences sont classées cancérigènes, ne l’oublions pas
Les radioamateurs et les personnes électrosensibles ne devraient cependant pas être les seuls à s’opposer énergiquement au déploiement du Linky. Il menace aussi les 800.000 personnes qui luttent actuellement contre un cancer. En effet, depuis le 31 mai 2011, les radiofréquences sont officiellement reconnues « potentiellement cancérigènes » (catégorie 2B) par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) qui dépend de l’OMS.
Les radiofréquences et les micro-ondes utilisées par les technologies sans fil et les objets connectés sont concernées par l’évaluation publiée deux ans plus tard par le CIRC (Monographie n° 102, en anglais uniquement). Elles sont ainsi venues rejoindre les champs magnétiques de fréquences extrêmement basses de l’électricité (50 hertz), qui avaient déjà été classés dans la même catégorie « potentiellement cancérigène » par le CIRC en 2001.
Les effets des radiofréquences sont plus rapides et plus violents.
Après l’alerte donnée en 2003 par les enseignants d’une école californienne équipée de compteurs communicants (« smart meters » en anglais), deux chercheurs américains, S. Milham et L. Morgan, ont publié en août 2008, dans l’American Journal of Industrial Medecine une étude mettant en évidence une augmentation significative du nombre de pathologies cancéreuses chez les enseignants dans cet établissement. Sur les 137 recrutés entre 1988 et 2005 dans cette école, 16 étaient atteints de cancer, dont deux de double-cancer aux localisations diverses, parmi lesquelles : thyroïde, utérus, mélanomes malins.
Le risque de cancer corrélé spécifiquement avec l’exposition aux radiofréquences émises par les smart meters était augmenté de 21 % pour une seule année de présence, tandis que le niveau d’exposition aux champs magnétiques de basse fréquence, considéré isolément, était sans incidence.
Tous les Français sont maintenant concernés
La réalité en France, c’est que tout le monde est concerné par le Linky, même ceux qui ont choisi un fournisseur d’électricité alternatif, car son pilotage est assuré par ERDF, filiale à 100 % d’EDF, qui détient le monopole de la distribution en France. Dormir chaque nuit, vivre et travailler chaque jour dans un bain d’ondes « potentiellement cancérigène » ne peut que menacer la santé de toute la population.
Un rapport canadien établi à partir d’un sondage mené sur 210 personnes vivant aux États-Unis, au Canada et en Australie (dont 9 médecins) établit clairement un lien direct et indiscutable entre l’installation des smart meters et l’apparition de nombreux symptômes d’électrosensibilité : troubles du sommeil, maux de tête, difficultés de concentration, nausées, vertiges…
Magasins, voisins, entreprises…
il faut refuser le « Linky world »
L’étape suivante est de passer à l’action. Mais il faut que ce soit une action collective car, compte tenu du mode de propagation des radiofréquences, il ne suffira pas de refuser le Linky chez soi, il faut aussi informer et convaincre ses voisins et son employeur. Et aussi prévenir le maire, car c’est la commune, et non EDF/ERDF, qui est propriétaire des réseaux électriques. Ainsi que les commerçants, artisans et petites entreprises, car, en s’équipant, ils irradieront sans le savoir l’ensemble de leurs clients et même les passants sur le trottoir !
Incendies, flicage, problèmes informatiques, chômage…
Le Linky, c’est ça aussi
Même s’il ne s’agit pas d’un problème de santé, il faut également parler des pannes à répétition observées sur les appareils déjà en service et qui auront sans doute des conséquences destructrices sur leur matériel professionnel et leur système informatique.
Dans ses nouvelles conditions générales de vente 2015, EDF/ERDF prouve qu’il est conscient du problème en s’exonérant de toute responsabilité en cas de panne et d’incendie. Les victimes n’auront que 20 jours à compter du sinistre pour apporter la preuve du contraire et chiffrer le montant des dommages. Et comme les assurances ont exclu des garanties « tous les dommages causés par les champs électromagnétiques », ce sont les particuliers et les professionnels eux-mêmes qui devront payer les réparations et les pertes de marchandises…
Concernant les incendies, le risque est majeur. Lors de l’expérimentation des compteurs Linky en France, 7 incendies ont eu lieu entre le 31 août 2010, date de son lancement par un décret du Premier ministre François Fillon, et le 1er décembre 2010. Le film du canadien Josh del Sol Take back your Power, visible sur internet, montre ce même phénomène au Québec, où 9 millions de « smart meters » ont été installés.
Autre risque majeur, le black-out provoqué par un hacker ou un cyber-terroriste, auquel le système Linky rend la France particulièrement vulnérable. De plus, la surveillance généralisée des faits et gestes de la population est rendue possible par la transmission en temps réel des données de consommation. Ce système est énergivore : chaque compteur Linky consomme en permanence 10 watts, et 700.000 concentrateurs (ordinateurs et antennes-relais GPRS 3G à hauteur d’homme) vont être installés dans les postes de transformation électriques.
Enfin, dommage collatéral du Linky, la suppression des 10.000 emplois générés par la relève des compteurs. Ces personnels, qui ne sont pas électriciens vont être formés à la va-vite pour installer le Linky, ce qui leur assurera un emploi… jusqu’en 2022, selon le témoignage d’un employé de LS Services, sous-traitant d’ERDF qui emploie 500 personnes dans toute la France. Les formations commencent déjà.
Et en plus il faudra payer (cher) tout cela
Le tout coûtera la coquette somme de 7 milliards d’euros, la cerise sur le gâteau étant que la durée de vie des matériels n’est que de 10 ans pour les concentrateurs et 15 ans pour les compteurs, et que le renouvellement de ces matériels n’a pas été pris en compte dans l’analyse technico-financière sur laquelle la Commission de régulation de l’énergie (CRE) s’est basée pour préconiser au gouvernement d’engager la France dans ce chantier hasardeux. Au Québec et en Espagne, depuis l’installation des compteurs communicants, toutes les factures ont augmenté, et il n’y a aucune raison que ce ne soit pas pareil en France.
Des arguments de mauvaise foi
La technologie : on se demande pourquoi la technologie CPL a été retenue pour rendre « communicants » les compteurs Linky, alors qu’il existe une technologie par fibre ne présentant aucun des inconvénients cités.
Les économies d’énergie : En remplaçant 35 millions de compteurs électriques par des Linky, le but annoncé par EDF, qui est à la manoeuvre à travers d’ERDF, est de pouvoir éteindre à distance les appareils électriques pour lisser les « pointes » quotidiennes de consommation et de ne plus devoir importer d’électricité au moment où elle est la plus chère ni utiliser ses centrales électriques thermiques (fioul, gaz, charbon). Mais pour réduire les pointes de consommation, mieux vaut remplacer les radiateurs électriques par d’autres modes de chauffage et réduire la puissance de son compteur, ce qui incite à utiliser les appareils alternativement et non simultanément.
Les factures personnalisées : les pro-Linky prétendent que l’avantage pour le consommateur sera d’obtenir des factures basées sur la consommation réelle et non sur des estimations. Mais ce service (Relevé Confiance chez EDF ou Ma Relève chez Engie) est déjà disponible et tout un chacun peut communiquer son index de consommation quelques jours avant l’établissement de chaque facture.
Leur réponse aux protestations :
hâtons-nous de ne rien faire
Toutes les associations spécialisées, Next-up et Robin des Toits en tête, sont mobilisées contre Linky. Le Directeur général de la santé, le professeur Benoît Vallet, a annoncé la saisine de l’Agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) pour évaluer « le niveau d’exposition de la population notamment dans les locaux d’habitation et à proximité des compteurs (…), et faire des propositions en matière de recherche et de surveillance à mettre en place. » Autrement dit, les autorités vont regarder le Linky par le petit bout de la lorgnette. Ce qui leur permettra de ne rien voir.
Plusieurs pétitions sont en ce moment lancées pour éviter le déploiement des Linky. Mais les dépenses ayant déjà été engagées, il y a peu de chances pour que le programme d’installation soit ajourné. Pour protéger votre environnement immédiat, il ne vous reste donc qu’à convaincre vos voisins, votre bailleur ou les copropriétaires de votre immeuble de s’opposer au Linky.
Une nouvelle décision de justice vient, au nom du principe de précaution, protéger pour quelques années ceux qui ne veulent pas du compteur intelligent Linky.
Nouvelle bataille judiciaire dans le combat opposant Enedis à ses clients dans le déploiement de Linky. Et nouvelle victoire pour ses détracteurs, cette fois-ci au nom du principe de précaution.
Au cœur de l’affaire, un particulier atteint d’hypersensibilité électromagnétique qui refuse l’installation chez lui du compteur communicant Linky. Les juges d’appel, confirmant les mesures protectrices ordonnées en référé, ont estimé qu’Enedis avait violé le principe de précaution en ne tenant pas compte des incertitudes sanitaires reconnues par l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses). Et que ce principe pouvait être invoqué en référé.
« Sa méconnaissance cause un trouble manifestement illicite qu’il convient de faire cesser », a estimé la cour d’appel. « Une procédure collective doit être lancée d’ici l’été, et le procès va durer des années. Les victimes pourront ainsi être protégées grâce au référé, le temps que l’on statue sur le fond de leur dossier », se réjouit Arnaud Durand, avocat.
Cette décision a été rendue par la Cour d’appel de Grenoble le 10 mars 2020, avec le n° RG 19/03354.
Filtre CPL « STRIKE » de la marque « SPICA » vendu en France par jobo-elec.frAttention, le filtre CPL anti-Linky débarque en France !!!Jusqu’à aujourd’hui, la fronde anti-Linky se faisait par le biais de courriers recommandés envoyés à titre individuel à Enedis, de pétitions signées ça et là, de collectifs organisant des débats ou des manifestations, et bien sûr, des délibérations votés aux conseils municipaux.
Avec l’arrivée sur le marché Français de ce filtre CPL, la fronde anti-Linky se poursuit désormais sur le terrain technologique.
Il est maintenant possible de s’équiper d’un filtre CPL passe-bas dans la bande CENELEC A
De nombreux internautes on parcouru le net et posté sur de nombreux forums à la recherche d’un super filtre CPL pouvant agir dans la bande de fréquence du Linky (CENELEC A, de 3 KHz à 95 KHz).
Problème: Cette plage de fréquence -le CENELEC A- est réservée aux fournisseurs d’électricité. Les rares filtres CPL vendus en France ne couvrent pas cette bande et ne sont donc efficaces que sur des plages de fréquences plus élevées. Celles destinés principalement à la domotique et aux équipements multimédias.
Un filtre spécialement conçu pour les smart meters
Les « smart meters » ou « compteurs intelligents » émettent du CPL dans la bande A du CENELEC. Ce filtre CPL a donc été « calibré » spécifiquement pour cette plage de fréquence. Ce qui lui permet d’éliminer l’ensemble des radiofréquences produites par votre « Linky » en atténuant totalement ses ondes CPL.
L’atténuation des ondes CPL est mesurée en décibels (dB). Car on parle de « bruit » sur le réseau engendré par ces courants perturbateurs, ou sales (dirty electricity).
Plus le niveau d’atténuation du filtre CPL est élevée, plus puissant sera son filtrage. Dès -20dB, le bruit sur le réseau est presque totalement absorbé et rendu inopérant.
A -70dB, c’est comme on dit…silence radio…votre circuit électrique domestique retrouve son calme et sa sérénité.
Un produit conforme aux normes CE
Ce filtre CPL Strike répond à toutes les normes européennes en vigueur et va même plus loin car il a été conçu pour faire face aux nouvelles exigences concernant les pollutions électromagnétiques engendrées sur les réseaux électriques.
Pourquoi s’équiper d’un filtre CPL?
Initialement développé pour « cloisonner » les appareils « perturbateurs », créateurs de champs électromagnétiques ou communiquant par CPL sur les réseaux tertiaires, ce filtre « bloque » tous les parasites du réseau sur lequel il se trouve. Le filtre Strike bloque les CPL dans les deux sens. Aussi bien les parasites venant de l’extérieur de votre réseau que ceux qui en sortent.
En installant ce filtre en tête de votre tableau électrique, vous vous protégez de toute intrusion de courant CPL dans les câbles de votre habitation (les circuits des prises de courant, comme les circuits lumières).
Est-ce légal d’installer ce filtre anti-Linky?
Ce filtre ne fait pas obstacle au bon fonctionnement de votre compteur Linky. Il ne fait que bloquer les intrusions CPL vers votre logement. Le but d’un compteur électrique, intelligent ou pas, est de compter votre consommation. Il n’a pas à envoyer de courant perturbateur sur votre réseau privé dans le but futur de capter vos données de consommation.
Vous avez parfaitement le droit en tant que citoyen de vous protéger des effets néfastes d’une technologie imposée par votre fournisseur Enedis, en l’occurrence, l’envoi de courant CPL dans votre habitation.
Votre Linky continuera de remplir sa mission en comptant comme il se doit votre consommation. Il continuera d’envoyer en CPL vos relevés de consommation vers le concentrateur le plus proche, mais il ne pourra plus en envoyer chez vous.
C’est un peu comme installer un pare-feu ou un anti virus sur votre ordinateur. Avec ce filtre CPL anti-Linky, le cheval de Troie de Big Brother / Enedis reste sagement à la porte.
La règle en électricité est que vous pouvez faire (presque) tout ce que vous voulez sur votre partie privé, c’est à dire tout ce qui se trouve après votre disjoncteur principal (tout ce qui n’est pas plombé).
Évidemment, ces travaux doivent obligatoirement être fait dans les règles de l’art. Tout bricolage est à proscrire. On ne transige pas avec la sécurité.
Ce filtre CPL s’installe sur la partie puissance de votre tableau électrique et nécessite l’intervention d’un électricien professionnel.
Un filtre CPL anti-Linky qui a une durée de vie supérieure…au Linky!!!
La MTBF (mean time between failures) c’est à dire le temps moyen entre pannes, ou durée moyenne entre pannes de ce filtre CPL est de 20 ans. Ce qui signifie une durée de vie bien supérieure à ce délai.
La fiabilité de ses composants et la qualité de fabrication confère donc à ce filtre une durée de vie (réelle) d’au moins 20 ans…soit 5 à 10 ans de plus que le nouveau compteur d’Enedis!
La durée de vie du Linky (théorique) étant de 15 à 20 ans, on peut donc affirmer que ce filtre CPL viendra à bout du Linky…et de son successeur.
En bref, vous êtes tranquilles pour un bon moment.
Le filtre CPL Strike
Les filtres CPL « STRIKE » de la marque « SPICA » se déclinent en trois modèles (25A, 40A, 63A).
De nombreuses personnes EHS (Electro-Hyper-Sensibles) recommandent ces filtres pour leur efficacité.
Ces filtres sont sans conteste les plus performants du marché (jusqu’à -70 dB) sur la plage de fréquences du compteur Linky.
Empêchez définitivement le compteur Linky d’envoyer du CPL dans votre habitat.
Qu’est-ce que le CPL?
Le principe du CPL (courant porteur en ligne) consiste à
superposer au courant électrique alternatif de 50 ou 60 Hz un signal à
plus haute fréquence et de faible énergie. Ces hautes fréquences sont
donc « portées » par la fréquence initiale (50Hz pour le réseau
domestique).
Cela permet d’éffectuer des transmissions de données numériques sur un réseau électrique de haute, moyenne ou basse tension.
Les courants porteurs sont utilisés depuis 1950 en bas
débit pour des applications industrielles (éclairage public,
télécommande de relais, surveillance des lignes haute tension) et depuis
2000 pour la domotique.
Le CPL ( Courant porteur en Ligne ) permet de faire passer des données numériques sur un réseau électrique domestique non prévu à cet effet, car non blindé.
Utilisation courante du CPL
Le CPL tend à se démocratiser depuis les années 2000 pour les utilisations domestiques.
Son avantage est de pouvoir transmettre des données entre deux équipements informatiques éloignés, sans avoir besoin de câbler.
Il suffit de brancher un boitier adaptateur CPL (plug) à chaque équipement et vos données sont transmises via les fils électriques existants de votre appartement ou bureau.
La principale utilisation du CPL en usage domestique et
bureautique se résume à installer 2 plugs CPL plutôt qu’un câble RJ45
entre deux équipements.
Cette technologie CPL serait formidable si elle n’avait pas la fâcheuse tendance de rayonner dans un rayon de 2 mètres (dans chacun des câbles de votre habitation) comme une antenne-relais. On appelle ça un courant radiatif. Et celui-ci est classé comme cancérogène possible par l’OMS (groupe 2B).
Du CPL pour ne pas câbler?
Il est évident que dans la plupart des cas, c’est une solution de facilité (pas de trou à faire, ni de goulotte à poser sur les murs pour passer le câble RJ45).
Génial! me direz-vous, mais l’enfer est pavé de bonnes
intentions…et ce sont souvent les chemins paraissant les plus faciles
qui y mènent.
Comparons les deux solutions:
Une paire de plugs coûte 10 fois plus cher qu’un câble RJ45
Les plugs CPL consomment de l’électricité 24h/24, le câble ne consomme rien
Les plugs CPL chauffent énormément (risque d’incendie), le câble reste froid
La durée de vie d’un plug est de quelques années, le câble est garanti à vie
Le débit (théorique) d’un plug est de 500 Mb/s, le câble débite (réellement) 1Gbp/s
Les plugs CPL émettent des rayonnements électromagnétiques (radiofréquences). Le câble n’émet aucun rayonnement.
Bref, de quoi réfléchir sérieusement avant de choisir « la facilité ».
Mais le CPL du Linky, comment ça marche?
Le système permettant l’exploitation des fonctions du compteur LINKY utilise deux niveaux de communication :
Un niveau par réseau filaire en utilisant le réseau de distribution électrique public et privé chez les consommateurs.
Un niveau par réseau hertzien en
utilisant des antennes-relais de type GSM téléphonie mobile, installées
sur les concentrateurs Enedis-ERDF au plus proche des populations.
Pour ces deux niveaux de communication, il y a pollution électromagnétique.
Par le réseau filaire, ce sont les bandes de fréquences du CPL injecté par Enedis-ERDF en superposition sur le 50Hz.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les signaux CPL ne sont pas arrêtés par les compteurs électriques.Comme le démontre cet article sur le CPL
Il existe actuellement 3 protocoles pour le CPL :
Protocole CPL
Bandes de fréquence
CPL G1
de 3 kHz à 148 kHz (Basses Fréquences)
CPL G3
de 10 kHz et 490 kHz (Basses Fréquences)
CPL Haut débit
de 1,6 MHz à 30 MHz (Hautes Fréquences)
Le CPL du Linky émet dans la bande du CENELEC A
Le Comité européen de normalisation en électronique et en électrotechnique (CENELEC)
fournit les normes électrotechniques afin d’aider le développement des
services et des biens électrotechniques, électriques et électroniques
sur le marché européen. Le catalogue CENELEC contient à ce jour plus de 5
000 normes.
Les données numériques du Linky sont transmises en CPL dans la bande A du CENELEC réservée aux fournisseurs d’énergie, grâce à 2 porteuses à 63,4 kHz et 74 kHz pour le CPL G1 et 36 porteuses de 35 kHz à 90 kHz pour le CPL G3
Bien que les emissions CPL du compteur Linky respectent
les normes Européennes, l’utilisation de cette technologie sur les
câbles électriques des habitations (non prévu pour cela car non-blindés)
provoque un rayonnement d’une portée de 2 mètres dans chacun des fils.
On appelle cela des courants radiatifs. Ils sont classés comme cancérogène possible par l’OMS (groupe 2B).
Rien de bien rassurant car personne n’est capable de
dire aujourd’hui (ou n’ose dire) ce que produira à long terme sur notre
métabolisme l’exposition permanente à ces champs électromagnétiques, si minimes fussent-ils.
Et quand on sait qu’en 2003, les réassureurs des assurances se sont désengagés à couvrir les risques
et dommages de toute nature, causés par l’amiante, par le plomb, la
téléphonie mobile et par les champs et ondes électromagnétiques. Cela a
de quoi inquiéter plus que de raison…
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